Austin Powers (la trilogie)

Austin Powers

En 1967, en pleine Guerre Froide, Austin Powers est le meilleur agent secret de Sa Majesté. Aussi efficace que James Bond, mais pourvu d'une garde-robe nettement plus inventive (bottines vernies, jabots de dentelles, pantalons-cigarettes en pane de velours), il utilise comme couverture le métier de photographe de mode, ce qui lui permet de draguer une myriade de mannequins en vogue et de jolies filles en goguette. Le reste du temps, il se bat avec les armes les plus perfectionnées contre son ennemi juré, Dr. Evil, un savant mégalomane qui menace l'humanité.

Austin Powers l'espion qui m'a tirée

La situation a évolué depuis les précédentes aventures d'Austin Powers. Ce dernier, acclimaté tant bien que mal aux années 90, est désormais séparé de son épouse Vanessa Kensington. Échappé de sa capsule cryogénique tournant autour de la Terre, le Dr. Evil est de nouveau sur le sentier de la guerre.
Grâce à sa machine à remonter le temps, il retourne en 1969 afin de dérober le « mojo » d'Austin, ce don mystérieux qui fait de lui à la fois un irrésistible séducteur, un amant infatigable et un adversaire invincible. L'agent secret doit donc repartir dans son époque d'origine pour affronter son ennemi juré, lequel est flanqué d'un clone modèle réduit, Mini-Me, auquel il prodigue toute l'affection qu'il a refusée à son fils Scott. Ce dernier, encore plus hargneux et aigri qu'auparavant, voue à son père une haine et un mépris si tenaces qu'aucune thérapie de groupe ne semble pouvoir en venir à bout.

Cela fait trois ans qu'Austin Powers, le fameux agent secret, a vaincu le diabolique Docteur Denfer. Ce dernier, enfermé, avec son complice Mini-moi, dans une prison de haute sécurité, parvient à s'évader. Ils s'associent avec Goldmember pour devenir maîtres du monde. Pour cela, ils remontent le temps pour capturer le père d'Austin Powers, lui aussi espion anglais : Nigel Powers.